« J’y crois au Bonheur moi, j’ai toujours fait que ça : pourchasser le bleu »
Blouskaille olouèze est une pièce exutoire, où la notion de bonheur est déclinée à travers, la névrose, l’obsession, le fantasme et le doute. Sur scène, 6 interprètes (danseurs, comédiens, musicien) vivent une crise existentielle s,accrochant au bleu du ciel , comme à une ultime certitude. Oscillant entre l’humour et le drame, blouskaille Olouèze pose un regard lucide sur la quête identitaire et la complexité des relations humaines.
Blouskaille olouèze possède la force des premières pièces. Elle expose les préoccupations artistiques de la chorégraphe qui n’aura de cesse de les déclinés au fil des années.
Création en collaboration avec les interprètes : Indiana Escach, Frédéric Gagnon, Jean-François Légaré, Séverine Lombardo, Myriam Tremblay et Némo Venba.
Répétitrice : Caroline Cotton
Compositeur : Laurent Aglat, Conceptrice d’éclairage : Lucie Bazzo, Costumière : Julie Desrosiers.
Durée du spectacle 45 min
Année de création : 2003 pour une première version et 2005 pour la version finale.
Présenté le 27 septembre 2005 au Festival Mondial des Arts pour la Jeunesse à la Maison de la culture Frontenac
Tournée des maisons de la culture, mars / avril 2006 pour le 10ième anniversaire des printemps de la danse.
Tournée Mexique , Casa de cultura de Colima le 2 et 3 juin 2006
«Avec cette création, la chorégraphe pose un regard ironique et affectueux sur la nature humaine…le propos d’Élodie Lombardo est d’une telle humanité qu’on est à peu près sûr de se trouver interpellé à un moment ou l’autre.(…) Une œuvre bien structurée qui laisse de grands espaces de liberté (…)
Une pièce songée et efficace, d’une maturité étonnante pour une jeune compagnie »
Fabienne Cabado, Dfdanse septembre 2005
« (…) Blouskaille olouèze agit comme une exhortation au plaisir via un dédale de situations clownesques et un chaos de mouvements qui se déconstruisent. À travers cette pièce Élodie Lombardo décline la notion de bonheur à travers la névrose et l’obsession, le fantasme et le doute. »
Katya Montaignac, ladanse.com, avril 2003 à Montréal
